Avant de récupérer Mamie Erika, nous faisons une halte au Blue Lagoon... lieu incontournable d'Islande. Cette couleur si singulière est dû à la présence de silice, calcaire et algues bleu-vert dans l'eau. Nous ne nous sommes pas baignés dedans en raison du prix assez extravagant, mais cela doit malgré tout être une expérience unique.
Puis, il est temps d'aller à l'aéroport. Pour Papi Frédo, Mamie Véro, Tonton, Tata et les cousines nous étions arrivés pile poil et nous avions eu peur de rater la sortie des stars, alors cette fois pas d'erreur, nous attendrons Mamie une bonne heure et demi en avance !
Les retrouvailles se font toutes en tendresse avec Arwen et Elisa qui sont heureuses d'accueillir leur deuxième mamie. Le plaisir est aussi auditif après 8 mois passé séparés ! Nous avions un peu d'anecdotes à rattraper ! Parfait, car trois heures de route nous attendent. Les filles vont profiter de leur Mamie dans une voiture bien pleine !
La route est, pour elle, le passage du
printemps à l’hiver. Du soleil parisien qui réchauffe les jardins, elle ne
retrouvera que le chants des oiseaux, très nombreux sur le sol islandais.
Notre périple nous mène d’abord sur la péninsule de Snaefellsnes,
située à l’Ouest de l’île. La route est assez calme, le temps assez gris. Nous
logeons dans un petit chalet de 25 m2 à 5, rien que la situation sera une
aventure ! Heureusement mamie Erika est organisée et s’adapte à toutes les
situations. Le lieu est un havre de paix, l'Islande des fjords se résume
en un mot... désertique !
Désertique d’habitants, où les maisons sont tellement
éparses que personne ne semble avoir de voisins (Ah le Françis manquerait à
Mamie !!), désertique car personne ne semble utiliser les routes pourtant
pas si nombreuses... désertique parce que y a pas moyen de faire des courses sans conduire durant 2 belles heures !! Et désertique alcooliquement parlant... la recherche d’un petit
commerçant de vin sera tellement épique que chaque fois que nous parvenons à en
trouver un... il sera fermé !
Bref... c’est calme, pittoresque, apaisant. Ce qu’on aime.
Ce que mamie a besoin pour déconnecter de la France. Que du bonheur !
Le premier réveil sera marqué par des chutes de neiges. En Islande la météo n’est jamais fiable. Le temps change
au moindre coup de vent (et c’est plutôt fréquent !). Nous passons du
soleil, à la pluie, à la neige, au soleil... Autant dire que pour prévoir la
journée, Jéjé s’en tire les cheveux ! (et ça diminue à vue d’œil !) Moi j’essaye de prévoir... les
gamines en combinaison de ski comme au Canada, ça isole, ça coupe du vent, ça
réchauffe... L’idéal !!
Nous prenons donc notre super Duster pneus cloutés (pas du
luxe), et commençons notre visite de la péninsule. Nous démarrons par un
premier arrêt près de la pyramide du mont de Kirkjufell et de sa jolie cascade.
Une vue qui est probablement embellie d’ailleurs par la blancheur de la chute
de neige. L’endroit est très joli. Nous y faisons une petite promenade courte
mais bien suffisante dans le froid. La neige pointera rapidement son nez dans
le ciel grisonnant, nous entraînant un peu plus loin sur la route.
Le chemin est très agréable. Au gré des kilomètres nous
mesurons à quel point l’Islande est riche d’eaux, de cascades, de paysages
sauvages. Nous sommes toujours seuls sur la route, hormis quelques touristes
souvent français qui semblent faire le même parcours que nous.
Nous découvrons ainsi nos premières cotes du fjord, toujours à la recherche de quelques phoques bien cachés ou de quelques macareux
qui restent au chaud dans leurs terriers.
Les balades en bord de falaises entre deux tempêtes de neige, permettent d'apprécier l'air vivifiant islandais. Mamie a bien fait de prendre son bonnet...les températures dépassent rarement les 2° degrés.
Nous visitons entre autre le parc national de Snaefellsjökull. Il s’étend autour du colossal volcan de 1446 m et de son
chapeau glaciaire de 11 km2 qu’on ne parviendra pas à approcher, la route étant
trop dangereuse et glissante en cette saison.
Le Mont Snafelljökull serait
placé sous la garde légendaire de Bàrdur, mi-homme mi-troll qui, pris de remord
après avoir tué ses deux neveux, s’y serait caché. Pour les ésothéristes, ce
serait le lieu d’un des 7 points d’énergies de la planète, à l’égal du mont
Fuji au Japon. Pour les géologues, plus terre à terre, il s’agit simplement
d’un stratovolcan formé par l’accumulation de coulées de lave depuis
800 000 ans.
Le parc est un décor de cinéma, avec son champ de
lave de Hàahraun figé depuis 2 millénaires qualifié par Jules Verne comme
« un amoncellement de déjections volcaniques », un « pays comme
écrasé sous une pluie de pierre énorme » dans son roman « Voyage au
centre de la Terre. ». Les couleurs noires des roches se mélangent au
jaune de l’herbe encore brûlée par la neige et au bleu des vagues... une scène
extraordinaire mêlant failles, cratères, sources.
Nous visitons la plage de Djupalonssandur, galets noirs et grains de sable s'entremêlent. Ici gisent les derniers vestiges rouillés d’un chalutier
anglais échoué en 1948, symbolique d’une mer pleine de danger. Les filles y
jettent quelques galets dans l’eau, puis Mamie et Jéjé s'entraîneront aux ricochets sur les
lagunes de Djùpulon et Svôrtulon qui contiennent de l’eau douce en surface...
Un record de 12 rebonds ! Le plus gros d’Islande !
De rebonds en rebonds, nous finissons notre journée en
faisant une petite ascension vers la faille de Raudfeldsgja qui peut se visiter en
été. Au mois de mai, les 2 mètres de neige glacée nous empêcherons de s’y
introduire. Le spectacle est juste extérieur... il n’en reste pas moins
impressionnant...
Nous avons réussi à fatiguer Mamie, un exploit :). Nous rentrons tranquillement après une belle journée de 10 heures bien chargée et profitons de la soirée autour d'une petite tisane et de carrés de chocolats... Certaines soirées, même au bout du monde, restent fidèles aux habitudes !
Le matin suivant, le temps est plus calme. Nous profitons encore de beaux rayons de soleil et le vent s'est effacé, de telle sorte que les paysages nous offrent de beaux miroirs à admirer...
Nous en prenons plein les yeux... l'Islande est un pays magnifique, surprenant, et nettement sublimé sous le soleil !
Cette journée sera marquée par de nombreuses heures passées dans la voiture. Les trajets que nous avons prévu pour aller d'un point de vue à un autre sont assez éloignés. Le paysage regorgera de trésors, ce qui rendra tout de même la route très agréable.
Nous nous dirigeons vers la cascade de Barnafoss située dans les terres.
C'est une cascade qui s'est vu nommée par une légende : Celle de l'histoire de la famille d'Hraùnsàs. Un jour de noël, ils s'étaient tous rendus à la messe à l'exception de deux enfants restés à la maison.
Lorsque la famille rentra de l'église, les deux enfants avaient disparu. Leurs traces menaient à l'arche de pierre qui enjambaient la rivière. Les enfants étaient tombés et s'étaient noyés. Leur mère fit abattre le pont de pierre afin qu'aucun autre enfant ne connaisse le même sort. La chute porte le nom de Barnafoss, qui signifie "la chute des enfants"
Aujourd'hui l'accès se fait par un petit sentier balisé. Les filles bien tenues par la main par Mamie qui ne les lâchera pas, nous admirons la couleur bleue presque blanche par endroit de ce torrent qui s'écoule avec violence dans la chute. L'eau tape sur les parois rocheuses, parfois en tourbillonnant, le bruit est intense. C'est magnifique !
A peine plus loin, s'écoule la chute de Hraunfossar. Elle a la spécificité de s'écouler sous un champ de lave : "Hraun" en islandais. L'origine de ce lieu tient dans l'éruption d'un volcan situé en aval du glacier Langjokull. La rivière n'est donc pas visible en amont et c'est ce qui rend l'endroit particulier car l'eau semble sortir de sous terre par une série de mini-cascades s'étendant sur quelques centaines de mètres le long de la Hvita. L'eau y est d'une couleur turquoise. Assez magique !
Les chutes valaient le coup, mais la route du retour sera encore longue.
Une chance, nous tombons par hasard sur la source chaude de Deildartunga. Elle serait par son volume, la plus importante source chaude du monde : son débit n'est pas de moins de 180 litres / seconde pour une eau avoisinant les 100 °c. Elle produit ainsi une énergie de 62 mégawatt grâce à des précipitations de plus de 1000 ans demeurant encore sur un plateau dominant la vallée de Borgäfordjur. Grace à un réseau de canalisation de 74 km, défini comme le plus long du monde, l'eau chaude produite alimente les villes de Borganes, Akranes et leurs campagnes environnantes.
Encore une fois ça sent l’œuf pourri, ça fume, c'est typique, on apprécie !
Jéjé étant insatiable encore ce jour là, il décide de nous emmener voir des orgues basaltiques pour finir la journée. Une petite pause proche de Gotuberg.
Pour expliquer brièvement, lors d'une éruption volcanique la coulée de lave se répand, jusqu'à être freinée et s'arrêter. Au contact de l'eau ou de l'air la lave se refroidit rapidement, et la matière se contracte et se fracture selon des prismes plus ou moins réguliers. Elle se solidifie alors pour former une roche basaltique organisée en colonnes.
Encore un trésor géologique pour nous, petits padawans dans les découvertes volcaniques !
La dernière journée de la péninsule sera plus cool, car après tant de routes les filles ont besoin de récupérer et jouer un peu avant de repartir sur les fjords de l'ouest.
Nous irons donc juste faire une petite excursion dans la ville portuaire de Stykkisholmur. Nous profitons d'une pause entre les averses pour y admirer la vue après une mini ascension d'un mini mont. Nous visiterons aussi l'église de la ville, protestante ou luthérienne. L'endroit est très sobre.
La journée du 4 mai commence par une tempête de neige. Des
bourrasques tellement fortes qu’elles m’arrosent quand j’ouvre la fenêtre de la
cuisine de notre 25 m2. Des flocons assez gros pour mouiller la tête de Jéjé
lorsqu’il chargera la voiture de nos valises si légères et peu encombrantes ;)
Un réveil en Islande sous la neige... c’est magnifique. La
roche noire devient blanche, l’herbe jaunit a revêtu son manteau, le ciel gris devient
lumineux. Voilà de quoi motiver toute la troupe malgré la route qui nous attend et les reliefs qu’il faudra que Dudu, notre Dacia Duster, affronte.
Dudu est super fort, ce jour là nous avons béni notre manque d’économie et vu
tout l’intérêt d’avoir des pneus cloutés. En quittant notre joli chalet, Dudu a
pris sa première montée... et ça n’a pas été long pour croiser un couple de
marseillais en pleine galère sur la route. Leur voiture glissait, impossible
pour eux d’avancer.
Plein de bonnes volontés, nous laissons mamie dans la
voiture avec les schtroumphettes, et nous allons faire notre petit sport
matinal pour dépenser quelques calories des 5 kg de chocolats qu’Erika nous a
emmener de France !! Nous faisons un binôme du tonnerre, nous poussons,
nous les voyons repartir... Jéjé retourne chercher notre voiture laissée en
contrebas. Moi, maline, j’attends... et je recommence à pousser en attendant
Jéjé (parce que seule, faut reconnaître qu’elle n’avance pas beaucoup la
voiture des marseillais !!)
Ce sera une rencontre furtive mais assez rigolote. Et
surtout une rencontre qui se reproduira car au final, nous les aurons bien
poussé 4 ou 5 fois !
La dernière fois sera la meilleure... Les marseillais, très
sympa, se sont arrêtés sur la route pour aider un thaïlandais ensevelit sous
la neige ! Nous, coincés derrière, et bien conscients que sans nos bras
très très musclés héhé, personne n’avancera plus, nous ressortons de Dudu pour
filer un coup de main. Pousser la voiture d’un thaïlandais sous la neige est
assez épique... et finalement même accompagné par mamie, nos biceps ne sont
pas si développés que ça. La voiture demeure dans sa prison blanche.
Heureusement, nous nous sommes fait un nouveau pote. Un canadien
en séjour dans le coin (comme quoi y a que du touriste en Islande !!). Un
canadien, en cette saison, est plein de ressources pour dégager une voiture de
ce pétrin. Et c’est là que Jéjé a fait sa meilleure blague de la semaine...
Que font un thaïlandais, des français et un canadien dans
une tempête de neige ? Le thaïlandais reste tranquille dans sa voiture, les
français poussent comme des dingues et le canadien, habitué, reconstruit une
route en cailloux !
Jéjé roulera 4 bonnes heures pour parvenir au fjord de l’Ouest.
Notre gite est plus grand que le premier et donc assez confortable. A 200 mètres
coule une source chaude, de quoi faire découvrir à Mamie un bain nordique !
La baignade aux alentours de 30°c sous un ciel gris sera agréable, mais les 0°c
auront raison de nous et nous ne resteront pas bien longtemps dedans !
Le paysage du fjord est sublime, et lorsque le soleil pointe
son nez pour éclaircir la neige la vue devient extraordinaire ! Elisa
prend, de la fenêtre de sa voiture, plein de photos et Mamie n’en fini plus de
superlatifs pour caractériser les vues ! Je m’enflamme, Mamie est
contente, pari réussi !
Comme à notre habitude, nous faisons le tour du littoral.
Normalement, dans ce secteur nous pouvons observer Macareux et phoques. Les
phoques nous finirons par les trouver ! Super ! Enfin
après des jours à les chercher ils sont là. Toujours en groupe de 2 ou 3 et
nous aurons la chance d’en voir à 3 reprises. Une observation qui nous permet
de bien remarquer les différences physiques avec leurs copains les otaries. Les
phoques n'ont, en effet, pas de pavillon externe auditif et sont très patauds sur
leurs rochers. Leur position en demi lune quand ils sèchent est aussi une
caractéristique très spécifique à leur morphologie, car elle leur permet de
garder un meilleur équilibre quand les vagues essayent de les faire tomber à l’eau.
Pour les Macareux, nous allons nous promener autour des
falaises de Làtrabjarg qui culmine à 440 m. Elles forment la pointe extrême
occidentale de l’Europe. Elles cachent de nombreux oiseaux : fous de
Bassan, guillemots, pingouins, torda et les fameux Macareux y font leurs nids
dans ses failles. Le vent souffle fort pour nous, très fort, trop fort. Jéjé,
Mamie et les filles s’aventureront un peu haut, manquant de s’envoler. Nous
verrons essentiellement des pingouins, ne pouvant pas nous aventurer trop loin.
Les macareux seront peut être pour plus tard...
Sur le retour des falaises nous faisons une halte auprès d’une
plage de Raudisandur. Parfois défini comme l’une des plus belles plages du
monde, elle vaut le détour. Son sable roux au creux d’une vallée sauvage et un
espace seulement habitée par une ferme de moutons rendent l’endroit assez
magique. Parait il qu’au soleil de minuit en août elle serait sublimée. Le lieu
invite à la baignade... mais une fois les pieds dans l’eau l’envie se réduit
assez rapidement. Un océan de glaçon... pas étonnant que les phoques s’y
sentent chez eux ! Nous n’aurons pas réussi à mettre mamie en maillot de
bain cette fois !

Si il y a une chose qui plait à toutes les générations sur l’île,
ce sont bien les cascades. Et trouver sa favorite peut mettre du temps tant elles
sont nombreuses !
Avec Erika nous avons découvert la cascade de Dynjandi. Haute de 100mètres c’est
la plus haute des fjords et probablement l’une des plus impressionnantes d’Islande.
Un peu du genre des cascades du hérisson selon mamie, elle dévale en escaliers
une paroi rocheuse, s’élargissant progressivement au cours de sa chute. Elle se
jette ensuite dans le fjord, dans un torrent puissant.
La cascade de Dynjandi se visite pratiquement sur toute sa
hauteur en suivant un petit sentier escarpé et glissant sous la neige glacé,
mais dévoilant à chaque étape une vue impressionnante. L’endroit a beaucoup plu
à toute la famille.
Le voyage de Mamie Erika arrivant à son terme, nous avons passé
notre dernière journée avec Dudu pour traverser l’Ouest de l’île. 5 heures de route
pour quelques 300 km sous la pluie, Jéjé ne s’est pas ennuyé ! Mamie non
plus, car une fois arrivés nous avons été lui faire visiter quelque peu
Reykjavik, son église et ses petits commerçants de souvenirs !
Pour qu’elle en garde plein la vue jusqu’au
bout, nous faisons une petite escale sur les bords du Blue Lagon à nouveau,
histoire d’admirer une dernière fois cette eau laiteuse bleuté hors du commun.
La semaine se fini autour d'une table dans un sympathique restaurant à Keflavik. Merci Mamie de ta venue, nous te laissons repartir en ayant de beaux souvenirs de voyage en famille désormais :)
Nous vous embrassons !







Je vous le dis.... on va être obligés de revenir 😊 Allez, place à mamie Erika pour les premiers commentaires... bibis les Zamours... nous reviendrons après 😉
RépondreSupprimerL'Islande n'est pas très loin!! C'est tentant mais il fait encore un peu froid!!! Toujours d'aussi beaux paysages, de bons commentaires comme si on y etait!!!Bon séjour
RépondreSupprimerbravo pour les commentaires de beau souvenir en famille je souhaite en avance un joyeux anniversaire a jerome de bros bisous avous tous un de plus a jerome au plaisir de se voir bientot mm pp
RépondreSupprimerMe voilà enfin trop rigolo de voir que j etais là ça fait tellement que je regarde les blogs que ça fait drôle de se voir comment vous dire que j ai passé une superbe semaine avec vous que j ai vu des paysages magnifiques qui grâceà vous étaient encore plus beaux je ne trouve pas les mots qui peuvent décrire ce que j ai ressenti énormes bisous je vous aime
RépondreSupprimerEncore une très belle histoire de voyage en Famille! Les 4 fabuleux aventuriers ont un sacré pouvoir à faire découvrir de beaux paysages et environnement... trop forts...gros bisous à tous bb
RépondreSupprimerErika de la chance, elle au moins, elle a vu des phoques...
RépondreSupprimerToujours de superbes paysages, l'Islande, avec ou sans neige est magnifique...
Bon anniversaire à Jérôme, même s'il ne trouve pas de vin, il ne perd rien à attendre, nous fêterons ses 31 ans à son retour...
Bizzss
Merci à vous 4 nous découvrons de beau paysages les photos zt commentaires sont excellents bravo . Mamie érika devait etre aux anges.... vous deviez etre content de voir vos familles respectives. Nous venons souhaitez un tres joyeux anniversaire à gégé et trinquerons à votre santé de gros bisous de la famille portais
RépondreSupprimerPfff... Fred en a profité pendant que je conduisais et ma devancée 🤣 BON ANNIVERSAIRE MON JÉJÉ ! Fêter ton anniversaire aussi près du pôle Nord, au pays des glaçons et des phoques.. Ça vaut le coup ! Nous patienterons encore quelques jours avant de partager une coupe 🍸 bisesss et très belle journée.
RépondreSupprimerPs. Un petit volcan et quelques fumeroles....franchement çest mieux que 31 bougies 😁
RépondreSupprimerTrop fort et c'est original pour les 31 bougies et les glaçons à volontés!♡ Bon Anniversaire Jéjé, Merci pour l'occasion de boire un coup à ta santé! Bises bb
RépondreSupprimerCoucou les bloggers mon jeje a 32 ans et Fred j ai vu des phoques mais j ai pas vu de baleines☹bisous à tous
RépondreSupprimerBon Jéjé un volcan à souffler en plus ainsi q'un glaçon et��champagne. A tous bisous♡ bb
RépondreSupprimerUn joyeux anniversaire à Jéjé !! ��
RépondreSupprimerGros bisous à tous
Amandine et Thomas
Merci à tous pour avoir pensé à mon anniversaire!!! :) Gros bisous
RépondreSupprimerUn peu avec du retard un bon jeromanniversaire pour tes 32 ans islandais!!!!
RépondreSupprimerplein de bisous et merci pour votre gentille carte, on vous attend, quelle est la date du retour? gros gros bisous
RépondreSupprimerC'est archi intéressant
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